Le mois de Muharram a commencé cette année vers la fin du mois de septembre, et à la suite de ce deuil, les chiites étaient plus exposés au harcèlement et aux menaces dans quatre coins du monde, selon Shafqa.
Dans les pays du Golfe Persique, comme l'Arabie saoudite et Bahreïn, une nouvelle vague d'arrestations et d'interdictions de voyage a été lancée.
En Irak et en Afghanistan, les voies des chiites et des sites religieux ont été ciblées par des attaques terroristes.
En Malaisie, le gouvernement a arrêté 200 étudiants chiites irakiens vivant à Kuala Lumpur, qui avaient été arrêtés pour avoir commémoré Muharram.
Historiquement, les chiites en Malaisie sont sous la pression du gouvernement, car toutes les cérémonies chiites, les publications et d'autres établissements d'éducation chiite sont interdits dans le pays.
En Inde, les Chiites n'ont pas eu accès aux fonds promis par le gouvernement, ce qui est à l’origine de la colère des chiites qui croient que le gouvernement les a trompés dans ses services.
La cérémonie de deuil de Muharram en Inde est une activité multiculturelle et multi-religieuse.
En Egypte, le ministère des Affaires religieuses, a fermé les portes de Rass al-Hussein (AS), comme les années précédentes pour éviter les cérémonies de deuil chiites.
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