Témoignages sur l’Imam Hussein des orientalistes et personnages connus

3120 2016-02-08

Washington Irving  : 

L’historien américain Washington Irving écrit : « L’Imam Hussein (AS) pouvait sauver sa vie en cédant à la volonté de Yazid, mais la responsabilité qu’il a en tant que chef de la communauté musulmane, ne lui permet de reconnaître Yazid comme calife. Il se prépare rapidement à tout malheur et à toute pression afin de libérer l’islam du joug des omeyyades. L’âme de l’imam Hussein (AS) reste éternellement vivant sous le soleil brûlant et sur les sables torrides des déserts de l’Arabie. O mon héros ! O symbole du courage ! O mon chevalier, Hussein    !   

 

  Harbin :

  Auteur allemand Harbin écrit : « Si nous prenons en considération la parole de Hussein (AS), nous comprendrons qu’il avait pour objectif de prévenir l’oppression et il a fait preuve de tant de sacrifices pour réaliser une cause sublime. Il a même sacrifié aux derniers moments de sa vie, son nouveau-né à la vérité et cela surprend  les penseurs et les philosophes du monde. » 

 

 

Le Mahatma Gandhi, leader défunt de l'Inde :

J'ai lu avec attention la vie de l'Imam Hussain, le grand martyr de l'Islam, et approfondi les pages relatives à l'événement de Karbala. Il m'est clairement apparu que si l'Inde voulait devenir un pays victorieux, elle devrait prendre comme modèle l'Imam Hussain.

Thomas Carlyle  : 

 Le fameux historien britannique, Thomas Carlyle écrit : « La meilleure leçon qu’on tire de la tragédie de Kerbela, est que Hussein (AS) et ses compagnons avaient une foi inébranlable en Dieu. Par leur acte, ils ont prouvé que la supériorité par le nombre ne compte, là où le faux et le vrai se trouvent l’un face à l’autre. La victoire de Hussein (AS) malgré le nombre limité de ses compagnons, m’étonne. »   

  Thomas Masaryk :

  Thomas Masaryk déclare : « Bien que nos prêtres parlent des passions du Christ pour émouvoir le public, mais la passion et l’ardeur que l’on trouve chez les disciples de Hussein (AS), ne se voient jamais au sein des fidèles du Christ et il semble que les passions du Christ en comparaison de celles de Hussein (AS), soient comparables à un brin de paille devant un immense montagne. » 

   

Edward Brown:  

Le fameux orientaliste britannique Edward Brown dit : « Y a-t-il de cœur qui ne s’émeut pas en entendant parler de l’événement de Kerbela ? Même les non musulmans ne peuvent pas renier la pureté de la guerre ayant eu lieu sous l’étendard de l’islam. »   

 

  Frederik James :

  Frederik James indique : « La leçon à tirer d’Imam Hussein et de tout autre héros tombé en martyre est que dans ce monde, des principes éternels de la justice, de la compassion et de l’affection sont des principes immuables et montre également que quiconque résiste pour préserver ces qualités, restera vivant à jamais. » 

   

Charles Dickens   :

Charles Dickens grand écrivain britannique dit : « Si imam Hussein (AS) voulait faire la guerre pour les objectifs matériels, je ne comprends pas pourquoi les sœurs, femmes et enfants l’accompagnaient. Alors la raison nous dit qu’il s’est sacrifié seulement pour l’islam. »   

  Antoine Bara :

  Anton Barr écrit : « Si Hussein nous appartenait, en son nom, nous lèverions partout un drapeau et une chaire dans tout village, pour appeler les gens au christianisme au nom de Hussein. » 

   

Gibbon   :

Fameux historien anglais, Gibbon a écrit : «Des années se sont écoulées depuis la tragédie de Kerbela, et nous ne sommes pas les compatriotes de son héros, cependant les passions subies par Hussein émeuvent les lecteurs les plus impitoyables au point à sentir en eux une espèce d’amabilité et d’affection envers lui. »   

  Nicholson :

  Le grand orientaliste britannique Nicholson écrit : « Les Omeyyades étaient  des hommes indociles et despotiques. Ils ignoraient les lois islamiques, humiliant les musulmans… Si on étudie l’histoire, celle-ci nous dira : La religion s’est soulevée contre les gouverneurs formels et le gouvernement religieux a résisté face à l’empire. Alors si l’histoire juge avec justice, la responsabilité du sang de Hussein revient aux omeyyades. » 

   

Maurice de Cobri : 

Maurice de Cobri déclare : « Si nos historiens connaissaient et saisissaient la vérité de cet événement, ils ne considéraient pas ces cérémonies de deuil, de folie, parce que les disciples de Hussein comprennent par ces cérémonies qu’il ne faut pas se soumettre à l’oppression, à la bassesse et au colonialisme, parce que le seigneur et maître avait pour devise la résistance face à l’oppression. » 

 

 Drouville :

 

Dans son récit de voyage, il écrit : « L’histoire triste de Hussein et de ses compagnons a occupé les esprits de la moitié des musulmans du monde. Les siècles marqués eux-mêmes par des tragédies et amertumes, n’ont pas réduit l’émotion que suscite cet événement…Même les ennemis de Hussein, ont été pris de pitié devant la résistance patiente de Hussein et le sacrifice de ses compagnons. Les événements horribles du10 mohharram abondent en passions pures humaines au point à agiter les humains et cette émotion se transmet de génération en génération. »

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